Hazel
est malade. Gravement. Augustus est en rémission. Elle a 16 ans, lui
17. Dès leur rencontre, en groupe de soutien, il est charmé par son
originalité, elle est séduite tout court. Ils ont le même humour, le
même regard sans concession et leur complicité est immédiate. C'est le
début d'une magnifique histoire d'amour et d'amitié.
Ce
livre est dans ma PAL depuis un petit moment. J’ai eu envie de le lire
car je vais voir le film en Août avec ma sœur et c’était juste hors de
question que j’aille voir le film sans avoir lu le livre.
Concernant
l’histoire, on suit Hazel, 16 ans, atteinte d’un cancer de la thyroïde
qui a également atteint ses poumons. Elle se rend à des séances de
soutien pour jeune cancéreux. Hazel va à ses séances pour faire plaisir
avant tout à ses parents qui font tous pour qu’elle rencontre de
nouvelles personnes. Lors de ses séances, Hazel rencontre Isaac (atteint
du cancer des yeux). Après quelques séances, Isaac amène un ami
Augustus, cancéreux en rémission. Naît alors entre eux une amitié et au
fur et à mesure grâce à l’insistance de Augustus une relation plus
intime. Un livre va les réunir : Une impériale affliction.
Hazel
est un personnage très touchant. Elle est fragile mais forte à la fois.
Elle possède une volonté de se battre et ne veut pas être une « grenade »
pour les gens qu’elle aime. Augustus, quant à lui, est très attentionné
envers Hazel. Il va tout faire pour réaliser le rêve d’Hazel, quitte à
mettre en jeu leur santé. Augustus a une peur qui ne le quitte pas, il a
peur de mourir sans laisser de trace pour le futur. J’ai beaucoup aimé
ses métaphores comme avec la cigarette non allumé à la bouche.
J’ai
beaucoup aimé la présence d’Isaac et la douleur qu’il vit entre la
rupture et sa maladie. Je trouve également que les parents d’Hazel
apportent un supplément à ce livre, un soutien énorme, un sacrifice pour
leur fille ce qu’Hazel a très bien à l’esprit.
J’ai
beaucoup de mal à mettre des mots sur ce que je ressens tellement ce
livre m’a bouleversé. Dès les premiers mots de ce livre, je me suis
laissé transporter dans leur histoire, à un tel point que j’en ai été
impliqué comme si ces personnages étaient mes amis. J’ai lu ce livre en
une seule journée, impossible de le lâcher. Je suis passer du rire aux
larmes à travers cette lecture.
J’ai été très
triste de tourner la dernière page de ce livre, j’aurais aimé continuer
l’escapade en Hollande, continuer à être dans leur vie.
Je
trouve que John Green a trouvé les mots justes pour faire de cette
fiction un véritable best seller, abordé une des maladies les plus
tabous de notre société en une histoire d’amour émouvante et poignante, cela n’a pas de mots.
Je
n’ai trouvé aucun point négatif dans cette lecture. Même si en lui-même
l’histoire est triste, j’ai fini ce livre avec un sentiment de bonheur
indéfinissable. Ça faisait longtemps qu’un livre ne m’avait pas apporté
ce sentiment.
Je ne peut être que d’accord avec la citation de Mélanie Blossier sur le 4ème de couverture : « Alors qu’on craint ne ressentir que de la tristesse en le refermant, le livre nous fait aimer la vie plus que jamais ».
Je
ne peux vous dire qu’une chose : « lisez ce livre, ne vous laissez pas
surprendre par le thème abordé vous ne vivrez qu’un moment unique de
lecture en compagnie de ses personnages plus réel que jamais ».
Maintenant,
je sais que je dois préparer mouchoirs à gogo et maquillage waterproof
pour aller voir le film. Car si je réagis comme le livre, je vais
pleurer les ¾ du film.
Ma note : 12/10 Un coup de cœur
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